Aujourd’hui, me voilà au colloque « Bibliothèque, outil du lien social ». Qu’est-ce que j’ai retenu de cette journée ? Heeeuuuuuuuuuuuuu… que les bibliothèques et les bibliothécaires doivent nécessairement s’adapter aux nouveaux défis de la diffusion et de la consommation des produits culturels.
Vastes chantiers et ça ne se fera pas sans remises en question. Et en l’occurrence, je me sens plus à l’aise dans mes bottes d’amateur dans une bibliothèque de poche en milieu rural que dans celles de professionnels en quête d’identité.
L’après midi est consacré à des retours d’expériences. Le projet de Signy l’Abbaye dans les Ardennes est assez avant-gardiste. C’est pas très éloigné de ce qu’est un guichet unique à ceci prêt que le pari d’immerger des structure administratives, sociales et d’animation dans l’univers d’une médiathèque, c’est faire le pari – audacieux ? – que les usagers sont des éponges et qu’ils se laisseront tenter par le Livre – le sacro-saint – et le reste : jeux, musique, expositions… La bibliothèque devient enfin un lieu de vie et de sociabilité.
En fait, j’ai la tête ailleurs, des soucis, des bouffées d’angoisse depuis que j’ai reçu le devis pharaonique pour la sonorisation et l’éclairage du concert de BlazbrO que j’ai programmé en janvier prochain.
Ils sont venus il y a 15 jours au Foyer Rural pour voir la salle et les jeunes.
Ôssssscours !
Qui peut réduire la facture ? Autant dire que ça grésille, que ça crépite au téléphone. Annuler le concert ? Non. Changer la date ? Tout le monde est booké. Réduire la facture ? Il faut changer de prestataire. Oui mais qui ? C’est Dominique GILLOT - 1ère Vice-présidente du Conseil général du Val d'Oise en charge de la culture - que j’interpelle à la pose et qui me met sur une piste. Merci !
Voilà, tout le monde est sur scène pour les derniers préparatifs. Tout est à peu prêt calé. Reste la promo. C’est pas une mince affaire...
