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22 juin 2010 2 22 /06 /juin /2010 13:57
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A près un déjeuner bien mérité, Gilles présente l’activité de l’après midi.

Nous allons prendre une leçon d’archéologie avec Céline et Christophe en apprenant à décrypter ce que nous disent les pierres de l’église de Nucourt !

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Une longue marche de 800 (!) nous conduit à l’église. Elle est  la seule en France à être excentrée du village. Christophe en explique les raisons aux jeunes, les guerres notamment. C’est en observant les pierres que nous allons retracer son histoire…

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Regardez bien ce pignon. Il a plein de choses à dire. Sauriez vous, comme les jeunes du chantier, trouver les indices vous permettant de faire des déductions sur les différentes périodes, sur les modifications qu’a connu cet édifice ? Voyez-vous les trois pignons correspondant aux agrandissements successifs ?

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Au début, très septiques, nos archéologues en herbe partent à la recherche d’indices sans trop y croire…

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Mais finalement, ils se piquent  au jeu et chacun rapporte au groupe sa trouvaille. Ici, Cédric  se lance dans des supputations qu’il partage avec ses collègues. Christophe et Céline donnent des explications complémentaires.

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Ces trois « carrés » bouchés sont caractéristiques d’emplacements d’un échafaudage qui a servi à l’élévation de l’édifice.

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Christophe nous montre là des gravures dans la pierre. Il ne s’agit pas de dégradations. Elles représentent des pelles à four de boulanger et cette corporation de métier. On peut donc en déduire que c’est à  cet endroit de l’église que les boulanger étaient inhumés.

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L’entrée de l’église dans un style gréco romain

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En pénétrant à l’intérieur, nous faisons d’autres découvertes.

 Ainsi, en lisant dans les pierres, nous découvrons qu’à une époque, la première église s’arrêtait un peu derrière Christophe et c’est là que se trouvait l’autel. L’église était donc tournée dans l’autre sens et était beaucoup plus petite. Cela correspond au plus petit pignon observé au début de l’excursion.

Les pierres nous apprennent aussi que les arcs cintrés ont été modifiés en arcs brisés pour s’adapter, entre autres, à des modes architecturales.

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26 octobre 2009 1 26 /10 /octobre /2009 12:13

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18 octobre 2009 7 18 /10 /octobre /2009 00:00


Depuis vendredi j’ai des flyers plein ma sacoche. Il a plu samedi. Il est temps de les distribuer pendant qu’il fait encore beau. On remonte la rue de la Bouterolle et on sillonne le lotissement avec les enfants. C’est là que la pochette se vide le plus rapidement. Hardeville, les pavillons sont plus espacés. On crapahute et on croise quelques flâneurs qui rient beaucoup. On se sépare pour couvrir d’un côté le quartier de la gare et de l’autre le centre hippique ou le haras.

 
   


Loïc en a marre :

« C’est quand qu’on rentre ?

- Après, on a encore tout ça à distribuer ! »

On arrive au croisement de la rue de la Bouterolle. Je crois qu’il est déçu. Il s’attendait à rentrer.

« Pourquoi on met les papiers dans la boîte à lettres ? »


Pourquoi on fait ça ? Ca fait déjà plus d’une heure qu’on tourne et moi aussi ça me gave un peu – d’ailleurs des recoins  ne seront pas distribué : en allant sur Magny et dans la rue du Château par exemple – je compte sur la distribution à l’école et les derniers flyers que je déposerai à la boulangerie. Alors, pourquoi on fait ça ? Par loisir ? Non, facteur c’est un métier. Pour l’argent ? Non, j’ai encore acheté des cartes et des boîtes métalliques Yu-Gi-Oh d’occasion pour le 26, tant pis ça sort encore de ma poche. Pour la reconnaissance ? Non, je cherche pas les compliments et d’ailleurs j’en ai pas. A part mes proches –une toute petite poignée – j’ai pas eu d’écho pour le gospel par exemple. Pour les livres gratuits ? Non je suis inscrit depuis plus de 10 ans dans l’agglomération de Cergy et j’y vais toutes les semaines. D’ailleurs j’ai eu la chance de voir un jeune groupe d’Argenteuil samedi après midi à l’Horloge. Il s’appelle « Pourquoi pas ? ». C’est charmant ! A suivre…Voilà, je crois que c’est pour ça que je fais les choses, pour la culture, pour faire circuler les images, le son, les mots… ? Ce matin encore on est passé sur le Salon d’Arts Actuels à Magny. Super initiative. Un vrai musée d’art contemporain éphémère. J’ai beaucoup aimé Elisabeth LUNEL, Antoine DUC et le gardien de l’imaginaire. L’expo sur les sculptures au Foyer Rural c’était excellent ! Faudrait continuer.


Pourquoi Yu-Gi-Oh !? Je suis né avec des Bd franco-belges dans le berceau : Spirou, Tintin, Pif et puis plus tard Pilote et la Bd adulte : L’écho des savanes, Métal Hurlant, Fluide Glacial, Le Psychopathe, Viper…J’ai dévoré les comics et les petits formats : les Marvel, Tarzan, Akim, Zembla, Blek…et j’ai découvert sur le tard les manga animés avec Goldorak et toutes les séries d’AB production que je qualifiait alors de "japoniaiseries" !

Résultats, ce sont les enfants qui m’y ramènent avec leurs Pokémon, Dragon Ball, Yu-Gi-Oh !, Naruto et autres ; avec des dessins animés à n’en plus finir, des manga et des cartes. Alors là, chapeau c'est une trouvaille ! Il n’y a pas une brocante dont on ne revienne pas sans cartes et c'était encore le cas ce matin à Omerville.

Les manga en vrac sortent comme des petits pains de la Bibliothèque, la Bd franco-belge aussi, c’est rassurant. Parfois même il m’a semblé que les enfants prenaient du plaisir à les feuilleter en première lecture. « Mon fils ne lit que ça ! » m’ont dit des parents navrés. Pourquoi pas ! C’est pourquoi j’ai inscrit la Bibli au « Club manga » de la Bibliothèque Départementale et on a désormais 4 séries complètes. Avec des DLC courtes, il faut que ça tourne vite pour permettre au plus grand nombre d’enquiller les volumes les uns après les autres. J’y tiens !

Donc, pour lancer ces séries j’ai imaginé une animation autour de Yu-Gi-Oh ! à la fois un dessin animé, un manga et un jeu de carte bien connu.

J'ai rencontré fortuitement des jeunes qui se sont lancés dans la vente en magasin de cartes à jouer et organisent régulièrement des Tournois Yu-Gi-Oh ! Ce sont des passionnés et des puristes qui regardent les mangas en versions originales. Je pense qu'ils sauront faire monter la fièvre chez les jeunes gens qui viendront le lundi 26 octobre.
Je sais d’ores et déjà qu’on passe peut être à côté d’un nouveau phénomène manga : Dofus, une série française tirée cette fois d’un jeu vidéo et qui se décline sous différentes séries telles que Wakfu, Pandala…En lisant ce manga, j'ai retrouvé la verve d'un Arleston et son Lanfeust de Troye. Il y a bien des similitudes entre les 2 oeuvres... J’ai découvert ça avec un jeune lecteur qui est passé un soir et je suis allé me renseigner à la Bibliothèque de Pontoise qui possède un fond extraordinaire de bandes dessinées. Avis aux passionnés, c’est là qu’il faut aller.

En attendant voici le détail des 4 séries. J’ai emprunté les résumés à des sites spécialisés dont : http://www.manga-news.com.  

 

 

 


XS

 

De JIHYUNG Song / JIHYUNG Song

Pays d’origine: Coree

Pour public averti: non

Age conseillé: 14 ans

 

Mina Park est une gentille fille un peu garçon manqué et au caractère bien affirmé, mais elle a sur les garçons qui l’abordent un étrange effet. La première fois qu’il la rencontre, à l’âge de 11 ans, Hinchang heo est transpercé par son regard et tombe dans le coma pour plusieurs jours. A son réveil, il a comme la sensation que sa vraie vie ne fait que commencer et que d’une façon ou d’une autre, elle est désormais liée à celle de Mina. En fait il semble bien que Mina ait « quelque chose » en elle que certains recherchent à tout prix, et ce ne sont pas des prétendant à son joli minois. Ce sont des hommes violents et taciturnes aux étranges pouvoirs. des hommes qui se reconnaissent entre eux et la reconnaissent malgré elle… des « hybrides » comme les nomment tous les services de police de la planète. Maintenant que Hinchang a grandi et qu’il est devenu un motard émérite et « trompe-la-mort » autant qu’un amoureux secret et maladroit, saurat- il protéger Mina de son étrange destin ? Mina en a-t-elle vraiment besoin? En a-t-elle vraiment envie ? Un manhwa aux frontières du fantastique et de l’anticipation, servi par un art du dessin original et fort.

 

    
   


Tokyo mew mew

De IKUMI Mia / IKUMI Mia

Pour public averti: non

Age conseillé: 10 ans

Pays d’origine: Japon

 

Cinq jeunes filles deviennent justicières malgré elles après qu'on leur a accidentellement injecté des gènes d'animaux menacés d'extinction.
Elles se retrouvent dotées de pouvoirs magiques et se transforment en créature mi-humaine, mi-animale. Elles doivent combattre des extraterrestres qui veulent utiliser les animaux pour conquérir la Terre. L'extraterrestre qui fusionne avec un animal fait de lui un chiméranimal, monstre géant et nuisible à l'environnement... Deux adolescents, Ryo et Keichiro, veulent prévenir l'invasion depuis leur base secrète, un innocent salon de thé, avec l'aide de ces cinq jeunes filles.
Ensemble, ils montent le projet Mew, destiné à sauver la Terre !

 

 

Naruto

De KISHIMOTO Masashi / KISHIMOTO Masashi

Pour public averti: non

Age conseillé: 10 ans

Pays d’origine: Japon

 

Tout commence de la façon la plus banale qui soit : Uzumaki Naruto est un jeune ninja du village caché de Konoha, rêvant de devenir le meilleur ninja de ce village, de devenir le Hokage, ninja légendaire dirigeant le village afin de le faire prospérer et le défendre des attaques des autres villages. Mais pour devenir ninja, Naruto devra passer (et réussir tant qu’à faire) des examens prouvant qu’ils possèdent bien les capacités pour devenir un bon ninja. Le problème est que Naruto dispose de bien peu de capacités, à part son incroyable volonté, il n’a pas grand chose pour lui. Il devra alors se dépasser et faire équipe avec la fille de ses rêves mais aussi le jeune prodige du village qu’il ne peut supporter.



   


Saint Seiya - Les chevaliers du zodiaque

Age conseillé: 10 ans

Age conseillé: 10 ans

Pour public averti: non

De KURUMADA Masami / KURUMADA Masami

Pays d’origine: Japon

 

Seyar (Seiya en VO) est un jeune chevalier qui vient d'obtenir l'armure de bronze de Pégase au Sanctuaire, en Grèce. Orphelin de naissance, et à la recherche de sa soeur, il accepte de participer à un grand tournoi de combats entre divers chevaliers afin de faire parler de lui, espérant ainsi que sa soeur pourra le voir à la télé. Ce tournoi est organisé par Saori Kido, qui s'avèrera être en fait la réincarnation d'Athéna, que Seyar et ses amis, Shiryû, Hyôga, Shun et Ikki devront protéger au péril de leurs vies.

Diverses forces du mal vont en effet apparaître, et les cinq chevaliers de bronze vont alors devoir mener de terribles combats pour protéger Athéna. Après la lutte contre les chevaliers noirs d'Ikki (un temps ennemi de nos héros avant de repasser du bon côté), ils affronteront tout d'abord les chevaliers d'Argent, puis devront faire face aux terribles chevaliers d'Or, l'élite de la chevalerie. Alors qu'Athena sera blessée par une flèche en plein coeur, nos héros vont devoir traverser les 12 maisons du Sanctuaire en moins de 12 heures afin d'arriver auprès du Grand Pope, seul capable de la sauver. Mais bien des mystères demeurent au Sanctuaire, et notamment sur l'identité du Pope qui s'avère être un personnage perfide et ambitieux, et qui tient le lieu sacré sous sa coupe.

Après cette épopée, nos 5 chevaliers aspirent à un peu de repos, mais cela ne durera que peu de temps : un nouveau danger menace directement la Terre, en provenance du royaume nordique d'Asgard. Revêtus de nouvelles armures, ils vont devoir reprendre le combat face aux Guerriers Divins dirigés par la princesse Hilda de Polaris, et affronteront enfin les Généraux de Poséidon, ce dernier étant derrière la menace qui pèse sur le monde... http://www.planete-jeunesse.com

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13 juin 2009 6 13 /06 /juin /2009 08:17


Nous étions finalement assez peu nombreux – au regard du nombreux d’érudits locaux - à venir écouter les exposés de Céline Blondeau et Christophe Toupet à quelques heures seulement du remblaiement de la fouille archéologique du Camp César.

La fouille s’arrête prématurément à l’occasion de transactions immobilières. Le centre d’initiation à l’archéologie ne verra jamais le jour et les archéologues départementaux resteront sur certaines hypothèses que la fouille de la pointe de l’éperon aurait pu lever.

Du coup c’est avec beaucoup d’émotion que Christophe Toupet s’est adressé à ses auditeurs. J’ai cru déceler par moment des vibratos dans sa voix. Peut être un signe de tristesse et de déception de n’avoir pu aboutir le projet d’archéologie expérimentale qui aurait permis à de nombreuses classes d’expérimenter ce qu’était la vie quotidienne à l’âge de fer.

Je crois que cette émotion était partagée parce que certains d’entre nous sont très attachés à leur village et collectionnent tout ce qui s’y rapporte : cartes postales, des articles de presse…et tente de conserver un peu la mémoire collective.

Quant à moi, je me souviens encore de notre première rencontre. C’était à l’occasion de la Fête du Patrimoine. Nous venions d’emménager et en suivant le circuit de randonnée de l’Aubette qui longe l’ancienne voie ferrée et la cressonnière, nous étions tombés nez à nez avec Christophe Toupet, campé au pied de l’éperon avec derrière lui trois panneaux d’affichage.

On s’était assis dans l’herbe et on l’avait écouté – comme on écoute un conteur - nous dévoiler l’histoire du Camp César…D’ailleurs tout commence par un mythe, celui du Camp César, un mythe orchestré au 19ème siècle par Achenbach, l’exploitant des carrières de Nucourt qui voulut se faire mousser auprès de la Société d’Archéologie de Pontoise au risque de soutenir…l’insoutenable. En tout cas c’est déjà un beau début d’histoire !

En plus, tout cela me renvoie à mes chères études comme on dit. A l’époque je suivais les cours d’Henri Bresc à Nanterre, un passionné d’histoire de la méditerranée et plus particulièrement de la Sicile médiévale. Il m’avait encouragé à suivre l’option d’archéologie médiévale animée par Jean Marie Pesez et remettre à plus tard la paléographie.

C’est comme ça que je me suis retrouvé d’abord à fouiller sous la direction de Jean Michel Poisson la motte de la Bastide de Gironville – dite Fort Sarrazin – à Ambronay dans l’Ain, vestige d’une fortification de pierre et de bois édifiée en 1323 au moment des la guerre entre le Dauphiné et la Savoie et détruite en 1330 ; à suivre au musée National des Arts et Traditions Populaire un séminaire de Françoise Piponnier sur l’équipement des foyers villageois du 14ème siècle d’après les inventaires après décès et de participer enfin


aux fouilles du castrum de Calathamet, commune de Calatafimi en Sicile. J’ai été d’ailleurs ému de trouver sur le net la photo du ou plutôt des fours que j’exhumais cet été là, en préparant ce petit texte ! De retour de Sicile je soutenais mon mémoire sur Guibert de Nogent et la 1ère croisade devant Pierre Riché, spécialiste des Carolingiens. Voilà un destin contrarié ! Autant dire qu’écouter nos 2 archéologues, c’est pour moi boire du petit lait !

 

Qu’est-ce qu’on peut retenir des exposés de Céline Blondeau et Christophe Toupet ? Hé bien, d’abord, le site a une situation exceptionnelle qui en fait un parfait refuge une fois construit le fameux rempart. Il a été occupé dès le 5ème siècle avant notre ère et il est probable qu’il s’agissait à l’époque d’un sanctuaire lié à l’eau. Ce premier rempart a été restauré à trois reprises, à l’identique, jusqu’au Moyen Age et plus précisément à l’époque du traité de Saint Clair sur Epte au cours duquel Charles III le Simple cède le duché de Normandie au chef Viking Rollon. Le site dit du Camp César accueille alors certainement une garnison destinée à endiguer les incursions des pillards.

L’étude du rempart et du fossé qui lui est associé permet d’analyser le travail des carriers au Moyen Age. Les traces découvertes à la surface des parois des fossés et un bloc débité mais non extrait permettent entre autre de comprendre le mode d’exploitation d’une carrière, les gestes professionnels et les outils utilisés, les méthodes de levage des blocs du fossé jusque sur le rempart. Les traces de chaux découverte au fond du fossé ne sont pas celle d’un incendie de palissade comme on a pu le penser un temps, mais sont en fait les vestiges d’un four à chaux provisoire qui a permis de réaliser le parement extérieur de la fortification.

Je laisse aux archéologues le soin d’éditer sur ce blog un article plus scientifique.

Concernant les sempiternelles questions à propos de l’église, on peut désormais affirmer qu’elle n’a pas toujours été excentrée. Archéologues et historien ont retrouvé la mention d’une rue bordée de maisons qui reliait le village à l’édifice. Quant à savoir dans quelles conditions elle a disparu, c’est une autre histoire…

   

Enfin, le regard affûté, toujours à dénicher les anomalies de restauration ont permis d’en savoir un peu plus sur les étapes de transformation de l’église. Au-delà des évidences que le promeneur peut observer aisément, Christophe Toupet nous propose de reconstituer cette évolution en 6 étapes :

   
     

Voilà, les quelques années qu’ont passé Céline Blondeau, Christopher Manceau, Christophe Toupet et tous les stagiaires sur le site du Camp César auront permis de rendre au village de Nucourt une grande partie de son histoire.

 
 

Mais il reste toujours du travail. Personnellement je pense que les vestiges du Four à chaux que l’on perçoit encore en hiver au travers du sous-bois lorsqu’on emprunte la route de Serans mériterait d’être réhabilité comme on réhabilite les lavoirs. Des associations telle que Rempart sont tout à fait disponibles pour aider à évaluer ce type de projet. Evidemment c’est une propriété privée…

Par curiosité, j'ai retrouvé un album photo sur Picassa....

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22 avril 2009 3 22 /04 /avril /2009 07:02

 

Le 22 avril 2009 la bibliothèque de Nucourt  présentait un diaporama de cartes postales anciennes des années 1900 à nos jours. Daniel CHEBILI commentait les images avec la complicité des anciens du village.

Les plus jeunes ont écouté avec attention les commentaires et les échanges de souvenirs de nos aînés. Merci aux  Nucourtois et Nucourtoises qui ont répondu présents.

Merci à Mme Ray et Emilie Chagot qui ont préparé le buffet.

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