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18 mai 2007 5 18 /05 /mai /2007 13:36

Lorsqu’on feuillette la presse locale, Val d’Oise Mag, l’Echo, la Gazette, on découvre au détour des actus ou des cahiers culturels les publications des auteurs et éditeurs valdoisiens. Il y a de cela 2 ans nous avions complété justement les collections de la bibliothèque en mettant à l’honneur quelques uns de ces nouveaux venus.

 

Roland Sadaune – Val d’Oise rouge

 

Val d’Oise rouge mène le lecteur à travers les reportages de Carine Kibert et les enquêtes du commissaire Stanislas Chimay. Ils pénètrent dans l’univers du marché de l’art où des assassinats se multiplient jusqu’à former l’ultime pièce d’un puzzle.

 

Maxime Chattam – L’âme du mal

 

Il a fait du chemin depuis et sa notoriété est faite dans l’univers du thriller. A propos de l’âme du mal il commentait à l’époque : « j’ai bossé dessus pendant près de 3 ans ». Ce jeune auteur a en effet mis toutes les chances de son côté. Un an d’étude de criminologie et plus de 2 ans de travail à la Fnac dans le rayon policier. « J’ai réussi à obtenir une dérogation pour assister à tous les cours de criminologie à Paris, pendant un an, mais je n’avais bien-sûr pas le droit de passer le concours. Ensuite, mon travail à la Fnac m’a permis de prendre des renseignements et des contacts auprès de différents auteurs et éditeurs que je rencontrais » précisait-il.

Dans l’âme du mal, le héro, l’inspecteur Brolin, formé par la cellule « profiler » du FBI est confronté à un tueur en série et plonge dans une enquête infernale. « Pour résoudre son énigme, le policier essaie de comprendre la psychologie du tueur par rapport au crime, à la position de la victime »

 

Marie Claude Devois – Trois cercueils pour Pontoise

 

L’ancienne magistrate évolue désormais dans l’univers de la fiction policière dont Pontoise sert de toile de fond. Quel lien y a-t-il entre un historien trouvé mort au pied des remparts, le cadavre de l’adjoint au maire chargé de l’urbanisme qui gît sur un parking de la place du Pont et un clochard retrouvé poignardé non loin de là ? A vous de le découvrir !

Bon anniversaire Monsieur Le Guillou est une intrigue hors du commun, mi bretonne, mi-africaine. Marie-Suzanne Kermet est intelligente, courageuse, jolie et rêve d’aventure. Elle tombe sous le charme de Monsieur Le Guillou mais le conte de fée tourne vite au drame. L’homme est mis en examen pour le meurtre de la jeune femme…

 

Gilbert Gallerne – Le patient 127

 

Très attaché aux auteurs américains tels que Stefen King et Dean Koontz. Après s’être essayé au fantastique, à l’horreur et à la science fiction, c’est vers le policier et plus précisément le thriller qu’il s’est tourné. Qui est le patient 127 ? Il ne peut être identifié car il est amnésique, sans papiers et sans empreintes. La police le soupçonne de grand banditisme. L’infirmière en charge de ce mystérieux patient se lance dans une enquête. Le patient 127 est-il fou ou cherche-t-il à la manipuler ?

 

Le prix de l’angoisse

 

Alors qu’ils sortent d’une séance de cinéma, Michel Berger et son épouse sont agressés. Traumatisé, l’industriel qui a des craintes pour la sécurité de sa femme et de ses enfants emploie un garde du corps chauffeur. Mais le choix de l’individu sera-t-il le bon ?

 

Marie Souffron – Le fil invisible

 

Ce roman raconte l’histoire de Léa, une mère dont le fils a été tué par un chauffard. Pendant une 100aine de pages le lecteur suit la vie parfois compliquée de cette jeune femme. Réussira-t-elle à faire le deuil de cet être aimé ? Sa recherche de l’assassin de son fils parviendra-t-elle à apaiser sa souffrance ?

 

Gilles Verdet – Une arrière-saison en enfer

 

Ce livre nous plonge totalement dans l’univers des années 70. L’histoire ? Un ancien anarchiste reconverti dans le commerce du whisky se rend à Bruxelles pour y faire une « livraison ». Il y rencontre un vieil ami. « Le livre se déroule sur deux périodes. Tout part de la rencontre d’un vieux copain. Puis le deuxième chapitre raconte l’histoire de gens cagoulés qui déboulent dans les beaux quartiers. Au fil de la lecture on comprend (…)». Coupons là l’interview pour ne pas dévoiler le mystère !

 

Paul Cordurie – C’est la faute à mon vieux

 

A 13 ans, Patrick est irrécupérable. C’est le point de vue de Jober, l’inspecteur chargé de la jeune délinquance à la Porte de Clignancourt. En mal de reconnaissance, il ne quitte pas Patrick et sa bande de copains d’une semelle. Dans ses excès, le petit devient incontrôlable. « C’est la faute à son vieux ». Ancien boxeur de renom, Jo Cicarelli dit « le vieux » ne travaille plus. Le soir, il fait la tournée des bars et délaisse sa femme et son enfant. De la maison de correction à la prison, du vol au meurtre, Patrick est-il vraiment irrécupérable ? Dévoré par la haine qui obscurcit son objectivité, arrivera-t-il à pardonner ?

 

Damien Damasio – La horde du contrevent

 

L’auteur a emporté dans son univers 2 complices : Boris, dessinateur e tArno, musicien. Le résultat : un livre au sujet incroyablement simple et complexe : le vent. 60 illustrations et un cd compris dans le livre qui reprend des passage du texte, des sons, des voix…pour densifier encore plus l’univers éolien crée par l’auteur.

Les personnages de la horde ont chacun une fonction et une personnalité singulière, tous tendent au même but : découvrir en remontant contre vent, l’origine du phénomène. Les portraits de personnages sont présentés sur le site web du livre. Le livre, les images, le son et ce site donnent toute sa cohérence à cet univers aérien.

 

Isabelle Joz-Roland – Tempête sur Royaumont

 

Des rencontres, un lieu qu’elle aime, une formation de prof agrégé d’histoire : l’alchimie a donné naissance à ce roman, bien étayé historiquement. L’histoire se déroule entre 1788 et 1794, en pleine Révolution française. Pour Isabelle, « c’est très représentatif de la petite histoire qui fait la grande. Les trois grandes strates de la société de cette époque y sont bien représentées. En fait, une petite histoire pour faire réfléchir sur la grande.

 

Claude Plumail – Le cybertueur

 

Dessinateur et parfois co-scénariste, Claude Plumail excelle dans le genre de l’héroïque fantasy mais se renouvelle ici en nous proposant une saga policière. Autodidacte, il a fait un court passage dans une école d’art plastique avant de travailler sur le tas aux albums du « Vagabond des limbes » où il peaufinait les décors. Viennent ensuite ses propres albums : Mythologias, Das Reich, Zeugme, le sortilège des rhunes mais aussi le dessin animé.

Le cybertueur est une histoire policière aux frontières du réel. Le scénariste Christian Godard lui offre l’occasion de changer de registre. « J’ai volontairement changé de style. Le cybertueur est une histoire plus modérée, contemporaine. Il fallait pour le bien du récit que je change. L’héroïc Fantasy reste bien sur mon petit jardin secret. »

 

Ces courtes chroniques ont été possibles en reprenant les articles parus à l’époque dans les journaux cités en introduction.

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16 mai 2007 3 16 /05 /mai /2007 14:31

Ernest hemingway

 (1899 – 1961)

 

 

 

Il appartient à ce que l’on nome la génération perdue, la génération des américains plongés dans les horreurs de la 1ère guerre mondiale dont ils reviennent désabusés.

Il vient d’une famille bourgeoise et puritaine. De son enfance il conserve et retranscrit les étés heureux qu’il passe à jouer comme un sauvageon dans la maison de campagne.

Il déroge à la carrière toute tracée de ses parents et devient journaliste. Il ne participe pas à la guerre pour des raisons de santé mais rejoint la Croix Rouge sur le front italien où il est blessé. Il est éconduit par une infirmière dont il tombe amoureux. Elle sert au portrait de Catherine Barkley dans « L’adieu aux armes ».

En 1921 il s’installe à Paris et commence à écrire. C’est la toile de fond du roman « Paris est une fête ». Son 1er recueil en 1925 passe inaperçu. Un an plus tard « Le soleil se lève aussi » est un best seller.

Dans « L’adieu aux armes » en 1927, il aborde enfin le sujet de la guerre qui l’a tellement bouleversée.

Il s’installe à La Havane à Cuba. Il semble détaché du monde et se consacre essentiellement à la pêche à l’espadon. Mais il se rend compte qu’on ne peut pas vivre ainsi isolé du monde. C’est la leçon de « En avoir ou pas » paru en 1937.

Il sort finalement de son isolement au moment de la guerre civile espagnole et couvre l’évènement. Il en tire le sujet de « Pour qui sonne le glas », une aventure passionnante, exaltante, une tragédie sure le destin de l’homme.

Pendant la seconde guerre mondiale, il patrouille dans la mer des Antilles à la chasse au sous-marin allemand, puis il prend part au débarquement de Normandie comme correspondant de guerre. Il suit et parfois devance les troupe sur le chemin de Paris puis de l’Allemagne.

En 1952, il publie « Le vieil homme et la mer ». C’est pour ainsi dire son chant du cygne. Le roman est salué comme un chef d’œuvre et lui vaut le prix Nobel de littérature en 1954.

Il quitte Cuba pour les Etats-Unis. Cela ne se voit pas mais il est diminué . Il se suicide d’un coup de fusil en 1961.

 

 

 

L'histoire raconte la mission d'un jeune américain, Robert Jordan, engagé dans les Brigades Internationales, qui est envoyé en Castille sous les ordres du général Golz pour permettre à ses troupes de lancer une attaque sur les troupes franquistes, il doit pour cela faire sauter un pont pour leur couper la route.

Pour y arriver, Robert Jordan va rejoindre un groupe de résistants, réfugiés dans les montagnes pour se cacher des troupes ennemies et tenter d’aider les troupes militaires des Brigades Internationales.

Robert Jordan va partager le quotidien de ces résistants tout en cherchant le moyen de faire sauter ce pont. Il sera aidé par les résistants qui deviendront ses amis, Robert Jordan tombera éperdument amoureux d’une jeune fille nommée Maria, qui a été recueillie par le groupe de résistants républicains après avoir été détenue et violée par les nationalistes. Ils devront surmonter beaucoup d’épreuves pour arriver à leurs fins, leur parcours sera semé d’embûches. Finalement, il devra les abandonner dans la montagne après que le pont ait sauté suite à une blessure qui l’empêche de continuer. Il attendra les troupes ennemies pour les combattre jusqu'à sa mort. C'est une ode au peuple espagnol tel qu'a pu le voir Hemingway montrant les différences entre le mode de pensée anglo-saxon et le sens du destin des espagnols.

 

 

 

Miss Stein et moi étions encore bons amis lorsqu'elle fit sa remarque sur la génération perdue. Elle avait eu des ennuis avec l'allumage de la vieille Ford T qu'elle conduisait, et le jeune homme qui travaillait au garage et s'occupait de sa voiture - un conscrit de 1918 - n'avait pas pu faire le nécessaire, ou n'avait pas voulu réparer en priorité la Ford de Miss Stein. De toute façon, il n'avait pas été sérieux et le patron l'avait sévèrement réprimandé après que Miss Stein eut manifesté son mécontentement. Le patron avait dit à son employé : "Vous êtes tous une génération perdue". C'est ce que vous êtes. C'est ce que vous êtes tous, dit Miss Stein. Vous autres, jeunes gens qui avez fait la guerre, vous êtes tous une génération perdue.

Le roman met en scène deux personnages principaux : Santiago, un vieux et pauvre pêcheur cubain, et Manolin, un jeune garçon , qui malgré les événements récents croit toujours au vieil homme.

Santiago n'a attrapé aucun gros poisson depuis 84 jours. Les parents de Manolin qui trouvent que Santiago est malchanceux, interdisent à leur fils d'embarquer avec le vieil homme et le forcent à aller pêcher sur un autre bateau. En effet ce dernier ramène trois grosses prises en une semaine!

Laissant son jeune ami Manolin, le seul qui pourtant croit toujours en lui, le vieil homme décide de partir en mer, en quête de la prise qui lui vaudra à nouveau l'estime de ses pairs.

Loin des côtes, sa ligne se tend enfin. La chance semble tourner.  Fort de son expérience, Santiago réalise très vite qu'il s'agit là d'une prise hors du commun. Quel est donc ce poisson qu'il n'a pas encore vu ? Toute la nuit, il se laisse entraîner dans l'espoir de l'épuiser.

Le lendemain matin, le poisson remonte enfin à la surface.  Il s'agit d'un gigantesque espadon, tel qu'il n'en a jamais vu. Celui-ci, comme pour le provoquer jaillit devant lui dans toute sa splendeur. Puis il replonge aussitôt comme s'il n'était venu que pour le défier.

L'espadon est tellement fort qu'il entraîne la chaloupe du vieil homme loin des côtes et le pêcheur ne peut qu'attendre et espérer.

La bataille sera longue. Santiago sortira vainqueur de cette lutte épuisante, mais constatera, hélas à son retour à terre que les requins ne lui ont laissé que la carcasse de sa magnifique prise.

L'Italie, pendant la Première Guerre mondiale. Frederick Henry , un Américain , s'est engagé dans l'armée italienne par goût pour le risque. Le bruit des canons est loin, et le jeune homme a le temps de flâner à travers la péninsule. Il rencontre une infirmière anglaise qu'il feint d'aimer. Mais très vite, les événements s'accélèrent. Il est blessé, revoit son infirmière, une complicité naît entre eux, il tombe amoureux d'elle. Il décide de déserter le front, et se voit contraint de mener une vie de marginal.

Harry Morgan est un américain vivant à Cuba avant la prise du pouvoir par Fidel Castro . Il vit avec une prostituée et gagne sa vie en organisant des croisières de pêche pour les touristes. Un de ses clients, Johnson, le quitte sans rien lui régler de la location de son bateau ni de la perte de tout un attirail de pêche. Plus tard il accepte de passer 12 Chinois mais tue le commanditaire de l'opération, Mr Sing, et débarque les Chinois. Il ajoute alors à ses nouvelles activités criminelles le passage de clandestins vers les Etats Unis . Sa vie s'achève lorsqu'il est pris et tué par les révolutionnaires cubains.

Vous trouverez aussi :

 

 

 

 

 

 

 

 

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16 mai 2007 3 16 /05 /mai /2007 10:56

Faire du théâtre le mercredi à Nucourt c’est avant tout un loisir, la pratique de jeux qui permettent à chacun de bouger, se détendre, imaginer et s’exprimer avec les autres et devant les autres.

 

 

Un loisir…et un peu plus que ça…

 

 

Par la variété des exercices d’expression corporelle (démarche, mime, expression du visage…) et d’expression vocale (respiration, articulation, volume….) chacun prend peu à peu conscience de ses capacités et ose, de plus en plus, « être » un personnage, apprend à se faire confiance, donc à être à l’aise, à faire confiance aux autres, les écouter et former avec eux un groupe homogène et complice.

 

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16 mai 2007 3 16 /05 /mai /2007 07:12

La bibliothèque reçoit des classes tout au long de l’année. Toute ? Non !

Il semble important que la bibliothèque d’une manière ou d’une autre contribue à l’éveil à la lecture, à l’élargissement des choix de lecture, à l’enrichissement et à l’approfondissement des thèmes abordés à l’école en proposant un éventail de documents sur les arts, la nature, les animaux, les sciences, les faits de société…qui complètent les outils pédagogiques déjà disponibles en classe.

Ces premiers pas augurent aussi des habitudes à venir. En primaire déjà mais qui plus est au collège et au lycée il est nécessaire de fréquenter le cdi (centre de documentation et d’information) ou des bibliothèques dédiées telle que la bei (bibliothèque d’étude et d’information) à Cergy.

On ne trouve pas tout sur internet et surtout une profusion d’informations dont le contenu n’est pas toujours validé. Evidemment la bibliothèque de Nucourt aurait du mal à répondre illico à toutes les curiosités et à proposer toujours des documents actualisés. C’est néanmoins un outil de proximité pour la culture loisir ou pour le travail scolaire.

 

 Madame Loriette nous livre ses impressions :

 

Les grandes sections fréquentent la bibliothèque environ une fois par mois. Nous sommes accueillis par une maman d’élève. C’est toujours un moment et un lieu de plaisir : des petits coussins et un tapis pour écouter des histoires.

Les enfants choisissent le livre qu’ils vont emporter chez eux, ils en feuillettent d’autres et discutent entre eux en regardant les images. Ensuite la maman enregistre chaque livre dans l’ordinateur. Enfin, elle raconte aux enfants plusieurs histoires avec grand succès.

En classe, la maîtresse note le titre du livre à emprunter et la date de retour. Chaque enfant garde son livre une semaine. Tous les vendredis, les livres sont remis à la disposition des enfants, qui en choisissent un nouveau.

Certains livres ont plus de succès que d’autres, preuve qu’ils sont lus à la maison et que les enfants en discutent entre eux.

Ainsi, un enfant qui a rendu régulièrement son livre a lu 35 albums en une année scolaire.

 

 

  

 

Avant que je mette l’article en ligne, Sylvie qui contribue à l’accueil des classes au même titre que Maria, Sylvie et parfois aussi Isabelle tenait à ajouter un commentaire qui est plus sur le registre des émotions et du plaisir de ce temps partagé avec les enfants et leurs instituteurs. Cela pourrait éveillé de vocations, qui sait !

 

Concernant le petit commentaire, tu pourras indiquer que je ne sais pas si les enfants ont pris du plaisir à écouter mes lectures (je penses un peu quand même, car ils en redemandent), mais en ce qui me concerne, ça a été beaucoup de bonheurs de partager ces moments avec les enfants des classes de Mme MEVEL, Mme NUNES, Mme LORIETTE et quelques fois avec ceux de la classe de Mr SARRAZIN. Donc, bien sûr, merci aux instituteurs ou professeurs des écoles pour ces moments là.

 

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11 mai 2007 5 11 /05 /mai /2007 07:08

Enfin, quelques photos de la brocante, floues biensûr ! J’ai mitraillé à l’aveugle, sur le tard. il y a bien quelques clichés cocasses mais je m’en garde l’exclusivité.

Et pour ceux qui ne me connaissent pas, voici une petite photo de moi. Je suis un garçon très discret n’est-ce pas ?

 

Plus sérieusement, la brocante est un temps fort de la vie associative de Nucourt. C’est bien l’un des rares moments qui rassemble autant de bonnes volontés.

Depuis 3 ans la bibliothèque y tenait un stand pour écouler son surplus de livres et financer ainsi ses dépenses : animations, livres, consommables…On remettra ça l’année prochaine. Il faut reconstituer un stock pour que la vente soit rentable. Alors, à votre bon cœur !

La bibliothèque étant une section du Foyer Rural, il est indispensable de prêter main forte pour monter et démonter les barnum, pour accueillir et placer les vendeurs, tenir la buvette (moi, j’aime pas !)…

Les recettes de la brocante constituent une partie du budget qui finance tout au long de l’année les activités, les manifestations, les travaux, les investissements…La bibliothèque y recourt évidemment !

Ce n’est pas sa seule source de financement. Le Conseil Général contribue aussi, après examen des dossiers par les services de la Bibliothèque Départementale, au financement des animations, en l’occurrence : l’atelier théâtre.

La foire à tout représente un gros-gros travail. Moi,  aujourd'hui, je fais  le malin avec mon appareil photo. C'est un tout petit petit témoignage de ce gros gros boulot.

Les dernières saucisses de la journée

 et les dernières barquettes de frites

 

 

sont vendues aux derniers badauds

 

 

Aujourd'hui il a fait beau et c'est bientôt l'heure de remballer

 

 

Les rues se vident tout doucement et déjà

 

 

on déshabille les barnums

 

 

tout va très très vite quand chacun sait ce qu'ill doit faire

 

On peut vous apprendre !

 

 

A la buvette, on range. On ne se rend pas compte à quel point une friteuse peut jouer un rôle central dans la réussite de la brocante. Il faut la bichonner !

 

 

 Il faut rentrer aussi les ustenciles et ingrédients

 

 

Pendant ce temps là, ça tourne dans Nucourt pour nettoyer les rues. Demain il ne restera rien de cette folle journée...

 

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