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19 novembre 2007 1 19 /11 /novembre /2007 09:21

Le 25ème Festival Théâtral du Val d’Oise s’est terminé ce week-end. Magny en Vexin accueillait d’ailleurs vendredi, en soirée, une étonnante adaptation du « 20 000 lieues sous les mers » de Jules Verne signée par Sydney Bernard.

Du haut de son estrade, le professeur Aronnax évoque son périple à bord du Nautilus en compagnie du Capitaine Nemo.

Malgré le talents des acteurs et la débauches d’effets spéciaux, pas toujours facile de suivre l’action lorsqu’on n’a ni lu le roman de Jules Verne, ni vu l’adaptation des studio Walt Disney avec l’inoubliable Kirk Douglas dans le rôle de Ned Land. Le film mettait en scène des plongées féeriques, une amusante attaque de cannibales et un époustouflant combat contre un calmar géant.

Et là surprise ! C’est spectaculaire : d’énorme tentacules surgissent de ce qui servait de pupitre au Professeur Aronnax et s’infiltrent dans la foule des premiers rang dans un tumulte épouvantable. C’est comme si vous y étiez ! Le public exulte.

Il n’en reste pas moins que pour les plus jeunes l’action n’est pas toujours très explicite. Le texte reste prophétique à de nombreux points de vue – c’est bien d’en avoir conservé l’intégrité – par contre le montage des saynètes manque parfois de fluidité et de capacité d’évocation.

Alors, si vous souhaitez vous replonger avec vos enfants dans l’univers de Jules Verne, passez à la Bibliothèque.

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12 novembre 2007 1 12 /11 /novembre /2007 16:55

Norman  Mailer s’est éteint à 84 ans, samedi 10 novembre dans un hôpital New Yorkais.

Il était considéré comme l’une des grandes figures de la littérature américaine – à l’instar d’un Ernest Hemingway – et s’était vu décerner le Pulitzer à 2 reprises, en 1969 pour « Les armées de la nuit » et en 1988 pour « Le chant du bourreau ».

On le désigne souvent comme un contestataire, un agitateur. Le Monde titrait d’ailleurs « son œuvre, féroce et lucide, comme sa vie, mélange de passion et d’engagements, ont fait de lui un éternel agitateur de l’Amérique ».

 

En effet, il incarne le type même du « journaliste littéraire ». Il s’oppose à la guerre du Vietnam….et encore récemment ne cache pas son mépris pour George W Bush.

Né dans le New Jersey en 1923, il n’a que 25 ans lorsqu’il se fait connaître en publiant en 1948 « Les nus et les morts », un roman sur la seconde guerre mondiale dans le Pacifique ; un roman qui peut être l’équivalent de « L’adieu aux armes » d’Hemingway.

Il avait fait des études d’ingénieur aéronautique avant d’entrer dans l’armée après l’attaque de Pearl Harbor.

 

Dès lors sa carrière est lancée. Romancier, poète, essayiste, pamphlétaire, journaliste, cinéaste et figure indomptable, il devient un personnage important de la contre culture américaine.

Sa vie privée est tumultueuse. Il avait la réputation d’être une grande gueule, un franc ivrogne, un bagarreur et un grand amateur de femmes. Il s’était marié à 6 reprises et avait eu 9 enfants. Il avait laissé sa une de ses femmes pour morte après l’avoir poignardé un soir de beuverie. Il était aussi réputé pour son penchant pour les drogues : marijuana ou benzédrine. Il avait du coup souvent l’esprit compliqué et embrouillé.

Le Chant du bourreau est l’un des plus grands livres publiés après la Seconde Guerre mondiale. Le grand roman américain. Norman Mailer y raconte la vraie histoire de Gary Gilmore, paumé d’une petite ville de l’Ouest américain, violent et braqueur, habitué des prisons. Sorti en liberté conditionnelle, il attaque une station-service et un motel pour piquer quelques dollars dans la caisse, et, à chaque fois, abat un homme. Gilmore finira fusillé dans la cour de la prison de l’Etat.

 

Mille pages pour plonger dans la tête de ces perdus du désert, personnages de pauvres Américains blancs – «white trash» – sans avenir. L’histoire, donc, de Gary Gilmore et des habitants de Provo, bourgade de pionniers mormons. Les mecs finissent en prison, les filles vont mal, comme Nicole Baker, la petite amie de Gilmore, 19 ans, deux enfants, quelques mariages, beaucoup d’hommes.

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8 novembre 2007 4 08 /11 /novembre /2007 07:56

Un étrange objet volant a survolé Nucourt la semaine dernière ! Etait-ce un ovni ? Zuperman ? Non une fusée en matière plastique de fabrication artisanale !

Une expérience c’est un peu comme une recette de cuisine. En général, je lis une ou deux recettes pour avoir plusieurs points de vue. On a souvent des surprises…je me souviens d’un certain tiramisu…mais c’est une autre histoire !

Alors, pour envoyer une fusée dans l’espace il faut donc trouver un ou deux livres d’expériences scientifiques.

Faire une liste d’ingrédients :

- 2 bouteilles d’eau en plastique :

- 1 qui va servir de pas de tir

- 1 qui va servir de fusée

- un bouchon

- une pompe à vélo

- un embout pour gonfler les ballons

- un cutter

D’abord, il faut réunir tous les ingrédients, farfouiller dans la maison, dans la remise, dans le garage, ou alors faire vite-vite un aller retour au magasin…

Un bouchon ! Un bouchon ! Si vous êtes comme moi c’est encore sur le tire bouchon que vous risquez de trouver ce que vous cherchez. Mais diantre, le coquin est trop petit pour boucher le boulot. Autre idée : le bouchon d’une bouteille de cidre (ou de champagne, de mousseux….). Il suffit de faire sauter la tête d’un coup de couteau et voilà, impec !

La pompe à vélo ! J’en fais pas du vélo, je préfère la marche à pied ! Heureusement j’en trouve une petite dans un coin. Par contre je ne remets pas la main sur l’embout spécial pour gonfler les ballons. C’est sûr, quelqu’un est passé derrière moi pour le cacher et m’agacer ! Bienfait pour lui, j’irai faire quelques km pour trouver une surface de vente spécialisée dans le matériel sportif. Au prix où est le gasoil, on n’est plus à ça prêt !

Percer le bouchon avec une vrille ou autre - je ne vais pas vous obliger à reprendre la voiture pour aller dans une grande surface de bricolage cette fois – et y glisser l’embout à ballon.

 

Découper le col d’une bouteille pour faire le pas de tire, y tailler une fenêtre par laquelle on glissera le flexible de la pompe à vélo, voir si la petite bouteille s’enchâsse bien à l’intérieur.

Remplier la fusée d’un tiers d’eau et voilà, vous êtes prêt pour vous lancer dans la grande aventure spatiale.

Il ne reste plus qu’à pomper, pomper, pomper jusqu’à ce que…

C’est parti tellement vite que j’ai rien vu.

Les enfants non plus. Il faudra plusieurs lancements pour revenir de notre surprise ! Reste à expliquer ce mystère. Il s’agit d’un phénomène physique bien connu : la réaction. En pompant on augmente la pression au dessus de l’eau. Et lorsque la pression est trop forte, le bouchon saute, l’eau est expulsée vers le bas et par  réaction la bouteille part dans l’autre sens : elle décolle littéralement.

Alors, si vous aussi vous voulez faire à la maison des petites expériences amusantes, vous savez ce qu'il vous reste à faire...

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8 novembre 2007 4 08 /11 /novembre /2007 07:55

Nous avons passé trois heures de partage, divisé en trois temps, à la bibliothèque:

1) La lecture d'albums:

 

 

 

Quatre enfants (Océane, Perrine, Noélie et Lucas) avaient préparé une lecture.

 

 

C'est devant plus d'une quinzaine d'enfants attentifs qu'ils nous ont montré leur talent.

Les adultes (Isabelle, Gilles et Sylvie), comme à leur habitude, ont eux aussi lu quelques albums jeunesse.

Nous avons passé environ une heure d'écoute parsemée de rires, de peurs ou autres émotions; tantôt avec des histoires de cochons ou de loups, tantôt avec des histoires de bisous ou de doudou.

II) Le goûter:

Nous nous sommes tous retrouvé devant des boissons, compotes et gâteaux.

III) L'atelier créatif avec des cylindres en amidon végétal :

 

Une fois rassasiés, nous avons constitués deux groupes. En effet, face au succès de fréquentation, tous les enfants n'ont pas pu effectuer tous ensemble l'atelier.

Certains enfants ont joué dehors en jeux libres, en attendant leur tour.

L'atelier, à l'initiative de Corinne TRINDADE qui a rejoint l'équipe bibliothèque cette année, a déclenché à réel enthousiasme chez les participants.

Nous remercions les papas et mamans restés en renfors. Ils nous ont permis le bon déroulement de cet après-midi et nous encouragent, nous équipe bibliothèque, à renouveler ce genre d'après-midi récréative.

Fini le bla-bla, à vous de découvrir les oeuvres (fleurs, dragons, montres, éléphants, chiens, bonhommes, oiseaux, légumes et autres créations) réalisés par les enfants.

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5 novembre 2007 1 05 /11 /novembre /2007 11:13

Halloween c’est un peu de maquillage

Quelques histoires

Un petit goûter

Et du porte à porte

Des fois on a eu peur

Mais on a rencontré aussi plein de gens sympas...

 

 

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